Paul Delvaux

Et moi, j'ai l'impression que c'est la même femme, reproduite presque à l'infini. Même visage, même robe, avec parfois une nuance de couleur dans le tissu. La couleur de la chevelure fonce dans l'obscurité, c'est tout. Même coiffure.

Alors, ou ce peintre ne sait dessiner qu'un seul visage, ou il a choisi un effet miroir déformant. Au fond, le décor change, mais tout le début du tableau s'enroule autour d'un axe placé à notre droite

Sa peinture est celle de la peur, en effet, de la sclérose, du malaise existentiel.
Quand c'est Munch qui peint, c'est génial. Quand c'est Delvaux...

elles attendent peut être le retour d'un père, d'un mari, d'un fils

Elles n'ont pas de lueur de l'espoir du retour dans les yeux..

j`aime bcp le images, belles!
emule

Merci Emule !